Une réponse qui ne s’est pas fait attendre

Il y a presqu’un mois, j’avais écrit à la travailleuse sociale de l’adoption pour avoir l’heure juste à savoir si oui ou non je pouvais adopté malgré mes problèmes de santé mentale. La ts m’avait dit qu’elle aurait une réponse pour moi seulement la troisième semaine d’août, au retour de ses vacances.

J’ai été agréable surprise d’avoir une réponse d’elle aujourd’hui. Ce n’est pas que je ne lui faisais pas confiance, mais je lui donnais tout de même jusqu’à vendredi avant de la relancer. Je sais qu’est-ce que c’est revenir de vacances, on est toujours très occupé à retourner nos appels et courriels, en plus de se mettre à jour sur ce qui c’est passé durant notre absence.

Sa réponse ne m’a pas vraiment surpris, c’est exactement à ce que je m’attendais. La décision finale à savoir si oui ou non je peux adopter un enfant va venir de ma psy. C’est ma psy qui doit juger si je suis apte ou pas à adopter un enfant. Elle doit envoyer un rapport à la ts d’adoption pour lui dire si oui ou non elle est d’accord avec notre projet. Elle doit leur dire si malgré mes problèmes de santé mentale, je serais capable de m’occuper d’un enfant et tous les problèmes que ça pourrait causer.

Je ne sais pas si ma psy va approuver le projet ou non. Oui, on a souvent discuté d’adoption. J’ai même souvent essayé d’avoir son point de vu sur la question, mais elle n’a jamais vraiment voulu me le donner. Elle me répondait que ce n’était pas à elle de juger de mes capacités parentales, mais à la ts de l’adoption de le faire.

Présentement, ma psy est en vacances, et ce, encore pour deux semaines. Dommage parce que je lui aurais envoyé un courriel pour lui demander. J’ai hâte d’en avoir le cœur net… même si ça me fait peur.