Au
moins, j’ai eu tout de même un bon réflexe la semaine passée durant ma colère.
J’ai téléphoné au bureau de mon médecin de famille pour avoir un rendez-vous. J’ai
été chanceuse, il pouvait me voir aujourd’hui, une semaine après. Biensûr, j’avais
peur d’aller le voir, peur que ça se passe mal, j’avais eu le temps d’imaginer
tous les pires scénarios possible. Heureusement, rien de tout ça n’est arrivé
et ça c’est très bien passé. Mon médecin était très content que je ne m’étais
pas laissé décourager par les refus et que je voulais continuer mon projet
Kilimandjaro. Il est prêt à me supporter dans cette belle aventure. Il me dit
aussi que j’ai fait des grands progrès depuis la première fois que j’étais
allée le voir y’a plus d’un an.
Maintenant,
l’espoir renait, mon rêve est un peu plus près. Je sais très bien que c’est
encore très loin d’être gagné, mais au moins ce n’est plus impossible et je
suis prête à travailler fort pour y arriver. J’ai hâte de m’entrainer, de mieux
manger, mais aussi de continuer ma thérapie et m’investir à 100%.
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